Le but de Domus
Libri est de
rendre accessibles, au plus grand nombre, des textes anciens ou des
textes peu connus d'auteurs
qui ont autorisé Domus-Libri à les reproduire.
Quand
nous reproduisons
des textes
imprimés nous sommes confrontés à deux
tentations antagonistes :
• restituer
scrupuleusement la mise en page originale ,
• présenter des textes sous une forme qui permet
de travailler sur les mots des textes : effectuer des recherches ou
l'indexation par les moyens informatiques.
Si
la restitution scrupuleuse peut se faire en reproduisant les pages par
numérisation, cette technique, qui s'apparente
à la photographie, ne
permet pas la recherche et l'indexation des textes. Cet
inconvénient,
pour nous rédibitoire, nous a conduits à opter
pour une soluton de
compromis qui consiste à reconstituer les textes sous forme
de
caractères en essayant d'approcher la mise en page
originelle: colonnage, pagination, polices et tailles
respectives
des caractères.
Cette reconstitution est faite
soit par reconnaissance optique, ou encore, quand les originaux ne le
permettent pas par saisie dactylographique. Cette approche ne permet
pas de restituer complètement la mise en page originale.
Là, n'est pas
l'inconvénient majeur qui est celui de l'introduction
d'erreurs.
Le souci du respect
de
la mise en page quel que soit la plate forme sur laquelle seront lus
les documents exige l'adoption d'un format tel que pdf. Ceci a
été d'autant plus facile que, depuis peu, nous
utilisons
comme traitement de textes NéoOffice qui produit
directement des fichiers pdf avec plusieurs choix permettant des
fichiers dont le poids n'est pas prohibitif. Pour des
questions
de volume de fichiers, nous avons découpé les
documents
à raison d'un fichier par page. La numérotation
des pages
est celle des originaux.
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